
Travaux 2026 : Découvrez les rénovations énergétiques prioritaires pour améliorer votre logement

À l’approche de 2026, de nombreux propriétaires s’interrogent sur les travaux à mener pour améliorer la performance énergétique de leur logement. Entre les nouvelles obligations réglementaires, la hausse du coût de l’énergie et l’envie d’un intérieur plus confortable pour l’hiver, il n’a jamais été aussi stratégique d’anticiper.
Bonne nouvelle : quelques choix bien ciblés peuvent réellement transformer votre bien, le valoriser… et alléger vos factures. Voici les travaux à privilégier pour commencer la nouvelle année du bon pied.
Quels sont les travaux à entreprendre pour anticiper les futures obligations énergétiques ?
Entre les nouvelles règles liées au DPE, l’interdiction progressive de louer les passoires thermiques et l’augmentation des coûts de chauffage, il devient essentiel de prioriser les bonnes rénovations.
Pas de panique : avec une approche structurée, vous pouvez augmenter la valeur de votre bien, réduire vos dépenses d’énergie… et profiter d’un logement plus confortable dès cet hiver.
Avant de se lancer dans des travaux, il faut savoir où se situe réellement votre logement.
Le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) reste le point de départ incontournable.
Un DPE clair vous permet de :
👉 Objectif 2026 : éviter de rester en classe F ou G, car ces biens seront encore plus difficiles à vendre ou à louer.

S’il y a bien un investissement rentable, c’est l’isolation.
En hiver, jusqu’à 30 % de la chaleur s’échappe par une toiture mal isolée, et jusqu’à 25 % par les murs.
Les priorités à considérer :
👉Une isolation efficace permet immédiatement de réduire la facture de chauffage, ce qui devient crucial pour l’hiver 2025-2026.
Un chauffage vétuste est souvent l’un des points faibles d’un DPE.
Bonne nouvelle : les solutions modernes sont plus performantes, moins énergivores et plus confortables.
Parmi les options à envisager :
👉 Pour 2026, remplacer un système obsolète devient un investissement stratégique, notamment pour les biens classés E, F ou G.
On y pense rarement, et pourtant : un logement mal ventilé se réchauffe mal, s'humidifie vite et vieillit prématurément.
Envisagez :
👉Une bonne ventilation contribue directement à un DPE plus favorable.
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Si votre budget est limité, concentrez-vous sur ce qui génère l’impact le plus immédiat pour améliorer votre DPE :
👉Ces quatre axes suffisent souvent à changer de classe énergétique et à valoriser fortement votre bien.
Pour les futurs acquéreurs, décembre est une période idéale pour repérer des biens nécessitant des travaux… et pour mieux négocier.
Un DPE faible peut devenir un levier d’achat, à condition d'avoir une vision claire du coût réel des améliorations.

Préparer votre logement aux exigences énergétiques de 2026, c’est :
Besoin d’un diagnostic personnalisé pour choisir les travaux les plus rentables ?
👉 Faites estimer votre bien gratuitement et bénéficiez de conseils adaptés à votre situation.

Nouveau statut du bailleur privé : l'impact pour les professionnels de l’investissement immobilier

La fiscalité locative française s’apprête à connaître l’une de ses plus grandes transformations. Avec la réflexion autour d’un nouveau statut du bailleur privé, le gouvernement souhaite simplifier un système devenu trop complexe, encourager la rénovation énergétique et offrir davantage de visibilité aux investisseurs.
Pour les professionnels de l’immobilier, cette mutation représente autant un défi qu’une opportunité : elle impliquera d’adapter son accompagnement, sa communication et la manière de valoriser l’investissement locatif. Dans cet article, nous décodons le dispositif, ce qu’il promet, ses risques, et les opportunités pour les acteurs du marché.
En 2025-2026, le projet de création d’un statut unifié pour bailleurs privés prend forme, en réponse à la double urgence d’élargir l’offre locative et de
relancer l’investissement privé. Pour les professionnels de l’immobilier (conseillers, agences, investisseurs), cette réforme pourrait restructurer les
modèles de conseil, de mise en marché et de service.
Depuis plusieurs années, l’investissement locatif privé souffre : la fin des dispositifs incitatifs traditionnels (ex : certains dispositifs « Pinel »), la hausse des taux d’intérêt, l’accroissement des contraintes réglementaires (notamment en matière de rénovation énergétique), ont fragilisé la rentabilité des placements.
Dans ce contexte, l’État a souhaité repenser le cadre fiscal pour relancer l’offre locative privée : un segment crucial pour pallier le manque de logements, notamment dans les zones tendues.
Le 30 juin 2025, un rapport parlementaire piloté par le sénateur Marc-Philippe Daubresse et le député Mickaël Cosson a été remis au Gouvernement. Ce rapport propose de créer un statut fiscal unifié “le statut du bailleur privé”, destiné à simplifier et harmoniser la fiscalité des revenus locatifs issus de logements privés mis en location longue durée.
L’objectif : rendre l’investissement locatif plus attractif et encourager la rénovation et la location longue durée.

Le projet de statut prévoit plusieurs mesures phares pour encourager les bailleurs privés. Voici les principaux dispositifs envisagés :
Le bien mis en location (neuf ou rénové) pourra être amorti fiscalement, à l’instar du régime de la location meublée. Le rapport propose un taux d’amortissement de 5 % par an pour le neuf, et 4 % pour l’ancien (sous condition de rénovation).
Cette mesure rend l’investissement locatif plus lisible et potentiellement plus rentable sur la durée, en allégeant la base imposable.
Le statut pourrait prévoir l’exclusion de l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) pour les biens loués en longue durée, ainsi qu’une exonération de la plus-value après 20 ans de détention, ce qui sécurise le horizon patrimonial des investisseurs.
La réforme s’inscrit dans une logique de transition énergétique et de lutte contre les passoires thermiques. Le nouveau dispositif serait un levier pour encourager la rénovation, améliorer la performance énergétique des logements et valoriser les biens durables.

Pour les conseillers, agents, gestionnaires et investisseurs, ce nouveau cadre offre des opportunités, mais aussi des défis importants.
Les conseillers devront devenir de véritables experts fiscaux et patrimoniaux : il faudra également maîtriser les nouveaux mécanismes d’amortissement, abattement, calcul de déficit foncier, et montage fiscal. Cela constitue un véritable levier de différenciation.
Avec l’importance croissante de la performance énergétique, les professionnels devront proposer des offres « packagées », intégrant le conseil rénovation, l’accompagnement aux diagnostics, le suivi des travaux, et la gestion locative durable.
Le discours autour de l’investissement locatif devra évoluer : on ne vendra plus uniquement de la rentabilité brute, mais un projet patrimonial stable, fiscalement optimisé et durable. Les biens devront être valorisés non seulement sur les chiffres (rendement, fiscalité), mais aussi sur la qualité, la durabilité et le confort ; des critères de plus en plus valorisés par les locataires et les investisseurs.

Le nouveau statut du bailleur privé représente un tournant majeur pour la fiscalité locative en France : un cadre simplifié, plus attractif, et potentiellement plus vertueux du point de vue social et environnemental.
Pour les professionnels de l’immobilier, c’est une opportunité de revaloriser leur rôle : de simples intermédiaires à conseillers patrimoniaux, garants d’une gestion globale, durable et optimisée.
Mais cela nécessitera de s’adapter pour proposer une véritable valeur ajoutée. Ceux qui sauront anticiper et structurer leur offre seront très probablement les acteurs de référence de l’investissement locatif de demain.
👉 Vous souhaitez vous positionner dès maintenant face à ces évolutions ?
Contactez nos experts We Invest dès aujourd’hui pour vous accompagner dans la mise en place de stratégies adaptées et en discuter.

Cet hiver transformez votre logement en cocon irrésistible grâce à quelques astuces simples

Vendre un bien en hiver peut sembler plus difficile : les journées sont plus courtes, la lumière naturelle se fait rare, et les extérieurs perdent un peu de leur éclat.
Pourtant, bien préparé, un logement peut dégager une atmosphère unique pendant la saison froide.
Grâce au home staging, il est possible de transformer chaque pièce en véritable cocon chaleureux qui séduira les acheteurs dès la première visite.
Le home staging, c’est l’art de mettre en scène un logement pour le rendre irrésistible : une véritable stratégie marketing au service de votre bien.
Mais en hiver, il prend une dimension supplémentaire : celle du confort visuel et émotionnel.
L’objectif ? Faire ressentir immédiatement la chaleur d’un foyer accueillant.
Cet hiver, le secret sera de jouer sur la lumière, la texture et l’ambiance cocooning.Voici les 7 principes que nous vous recommandons de mettre en place afin de garantir un home staging réussi :
Premier réflexe : soignez la première impression.
En hiver, l’extérieur du bien peut sembler moins engageant. Il est donc essentiel de réchauffer l’atmosphère dès le seuil :
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Le home staging hivernal, c’est aussi une histoire de textures et de teintes.
Les matières douces et naturelles apportent du réconfort visuel : plaids en laine, coussins moelleux, tapis à poils longs, rideaux épais.
Côté couleurs, privilégiez les tons neutres et chauds : beige, taupe, ocre clair, terracotta. Ils renvoient immédiatement une impression de chaleur et de sérénité.
Évitez les décorations trop typées et colorées “fêtes de fin d’année” : l’objectif est de séduire tout au long de la saison, pas uniquement en Décembre.
En hiver, la luminosité devient un argument clé. Voici quelques astuces simples mais efficaces :
Une atmosphère lumineuse et apaisante déclenche plus facilement le coup de cœur émotionnel.
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Même en hiver, les fondamentaux du home staging restent les mêmes :
Le bien doit paraître soigné et fonctionnel, sans être impersonnel.
En hiver, l’enjeu est de raconter une histoire à travers chaque pièce.
Un coin lecture baigné d’une lumière douce, une chambre au linge de lit moelleux, une cuisine bien éclairée avec quelques accessoires en bois clair ; autant de mises en scène simples qui suscitent une émotion positive :
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Contrairement à une rénovation, le home staging ne cherche pas à transformer, mais à révéler.
Pour un bien estimé à 300 000 €, comptez en moyenne 1 500 à 3 000 € pour une mise en scène complète : peinture, décoration, accessoires et
parfois shooting photo professionnel.
C’est un investissement rentable, qui permet souvent d’éviter les négociations sur le prix final.
Si vous souhaitez aller encore plus loin, le home staging virtuel est devenu l’un des outils les plus puissants pour mettre en valeur un bien sans travaux.
Grâce à l’intelligence artificielle et aux logiciels 3D, il est désormais possible de recréer virtuellement un intérieur meublé, lumineux et décoré, à partir de simples photos de pièces vides.
Chez We Invest, nous utilisons notamment Cadastre, un outil intelligent qui intègre une fonctionnalité de home staging virtuel assisté par IA.
Cet outil permet de simuler en quelques clics différentes ambiances (moderne, scandinave, bohème, minimaliste…) et d’aider les acheteurs à se projeter immédiatement dans leur futur logement, même lorsque celui-ci est vide ou en travaux.
Résultat : des annonces plus attractives, un impact visuel renforcé sur les plateformes en ligne, et un effet coup de cœur instantané lors des visites.
Le home staging hivernal n’est pas qu’une astuce déco : c’est un véritable levier de vente.
Bien mis en scène, un logement peut séduire dès la première visite, même sous la pluie.
L’important est de faire ressentir le confort, la chaleur et l’émotion que procure le fait d’y vivre.
👉 Vous voulez savoir comment valoriser votre bien cet hiver ? Découvrez nos astuces dans ce kit :
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De plus en plus de biens se vendent en off-market : une stratégie immobilière discrète et efficace

Vous l’avez peut-être déjà vécu : un bien repéré sur une plateforme…déjà marqué “sous offre”. À peine publié, déjà vendu ! Rassurez-vous : vous n’avez pas manqué de réactivité. Ce bien était sans doute vendu en off-market, c’est-à-dire avant même d’apparaître sur les sites immobiliers.
Cette pratique, longtemps réservée à certains cercles d’initiés, séduit aujourd’hui de plus en plus de vendeurs et d’acheteurs. Découvrons ensemble pourquoi.
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Le off-market, ou vente discrète, consiste à vendre un bien sans publicité visible : pas d’annonce sur les portails immobiliers, pas de panneaux “à vendre”, ni de diffusion massive.
Tout se joue en coulisses, grâce à la mise en relation directe entre un vendeur et des acheteurs qualifiés.
Loin d’être une mode, c’est une véritable stratégie de vente.
Moins visible, mais souvent plus efficace : le off-market peut sembler paradoxal. Pourtant, bien utilisé, c’est une stratégie 100 % gagnante, autant pour le vendeur que pour l’acheteur.
C’est l’occasion idéale de tester le marché en toute sérénité, parfois à un prix premium, sans risquer de “griller” le bien avec une annonce restée trop longtemps en ligne.
Résultat : un bien valorisé, et un processus de vente plus fluide, car seuls les acheteurs les plus motivés y ont accès.
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C’est le privilège de découvrir des biens avant tout le monde. Moins de concurrence, plus de temps pour se positionner, et davantage de chances de trouver le coup de cœur.
Un vrai atout sur un marché immobilier où les opportunités partent parfois en quelques heures.
Une vente off-market réussie ne doit rien au hasard.
Elle repose sur un travail de fond de l’agent immobilier et sur la qualité de sa base de données.
Voici les piliers d’une stratégie off-market efficace :
Sans ces leviers, le off-market reste une promesse creuse. Avec eux, il devient une arme redoutable pour vendre vite et bien.
Avant de confier votre bien, posez-vous les bonnes questions :

Un bon agent off-market, c’est avant tout un expert du sur-mesure.
Le off-market n’est pas une baguette magique. Il ne convient pas à tous les biens, ni à toutes les situations.
Mais bien utilisé, il peut transformer une simple vente en expérience fluide, valorisante et efficace, pour le vendeur comme pour l’acheteur.
Alors, prêt(e) à découvrir si votre bien peut se vendre… avant même d’être visible ?
L’un de nos conseillers est là pour vous répondre !

PLF 2025, fin du LMNP, nouveaux défis : les pros doivent anticiper pour rester compétitifs.

L’année 2025 s’annonce comme un tournant pour le secteur immobilier. Entre la réforme du Projet de Loi de Finances (PLF 2025) et la disparition de plusieurs dispositifs
fiscaux phares, les professionnels du secteur vont devoir redoubler d’agilité.
Alors que les vendeurs, acheteurs et investisseurs s’interrogent, les agents immobiliers ont un rôle clé à jouer pour les accompagner et maintenir la confiance.
Le Projet de Loi de Finances 2025 amorce un tournant vers un recentrage des dépenses publiques et une simplification des niches fiscales.
Parmi les mesures les plus discutées, deux retiennent particulièrement l’attention du secteur immobilier :
Ces mesures visent à rééquilibrer le marché et limiter les effets d’aubaine, mais elles risquent d’entraîner un repositionnement rapide de certains investisseurs, notamment les multipropriétaires et les bailleurs meublés.
Pour les professionnels : ces changements vont mécaniquement modifier les motivations d’achat et de vente. Il devient essentiel de réactualiser vos argumentaires et de renforcer vos connaissances fiscales pour rassurer vos clients.
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Le LMNP, longtemps considéré comme un outil incontournable pour les investisseurs, perd son avantage fiscal historique. À partir de 2026, les nouveaux achats ne bénéficieront plus de l’amortissement sur le bien ni sur le mobilier.
Même constat pour le Pinel, dont la dernière version (“Pinel +”) s’est éteint définitivement fin 2024.
Ces suppressions successives traduisent une volonté claire : sortir d’une logique de soutien fiscal généralisé à l’investissement locatif, au profit de dispositifs plus ciblés, orientés vers la rénovation énergétique ou le logement social.
Les professionnels peuvent tirer parti de cette période de transition pour repositionner leurs conseils : au lieu de vendre un avantage fiscal, vendez une stratégie patrimoniale durable.
Face à ce nouveau contexte, la clé réside dans l’anticipation et la pédagogie :
- Former vos équipes
Mettez à jour vos connaissances fiscales via des formations courtes ou en partenariat avec des experts locaux (notaires, fiscalistes).
L’objectif : être capable d’expliquer concrètement à un client ce qui change pour lui, et dans quel délai.
- Valoriser la rénovation et la performance énergétique
Les dispositifs d’aide à la rénovation comme MaPrimeRénov’, éco-PTZ vont prendre de l’importance.
Les agents qui sauront intégrer ces arguments dans leurs estimations et leurs ventes prendront une longueur d’avance.
- Adapter votre communication et vos outils
Produisez des contenus pédagogiques sur ces changements (vidéos, posts LinkedIn, articles blog d’agence).
Les clients recherchent avant tout des interlocuteurs qui décryptent les évolutions plutôt que de simples intermédiaires de transaction.
- Explorer de nouvelles stratégies d’investissement
Le bail réel solidaire (BRS), l’investissement dans le coliving, ou les résidences seniors gagnent en attractivité.
Ces segments offrent de nouvelles opportunités commerciales tout en répondant aux enjeux sociétaux actuels.
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Derrière les incertitudes fiscales, se cache une transformation profonde : le retour à un immobilier d’usage et de valeur durable.
Les investisseurs recherchent désormais la stabilité, la rationalité, et une approche à long terme.
Les agents immobiliers capables de se positionner comme conseillers patrimoniaux de proximité plutôt que simples vendeurs seront les grands gagnants de cette mutation.
La fiscalité change, mais le besoin de confiance et d’accompagnement reste. C’est là que se joue votre avantage concurrentiel.
La fin de 2025 marque la fin d’un cycle, mais aussi le début d’un marché plus sain et plus structuré.
Les professionnels qui anticiperont ces évolutions fiscales dès aujourd’hui renforceront leur légitimité…et leur performance en 2026.
En période de transition fiscale, mieux vaut être bien accompagné.
👉 Nos conseillers sont à votre disposition et là pour vous aider à anticiper sereinement les évolutions du marché.

RENT 2025 : une édition placée sous le signe de la résilience et du collectif

Ça y est, la 13ᵉ édition du Salon RENT s’est déjà achevée… 🥹 Et une chose est sûre : le succès était une nouvelle fois au rendez-vous !
Les 5 et 6 novembre derniers, près de 12 000 professionnels de l’immobilier, de la tech et de l’entrepreneuriat se sont donné rendez-vous Porte de Versailles à Paris pour
célébrer l’innovation et la transformation du secteur.
Sous la direction de Stéphane Scarella, cette édition 2025 a mis en avant une thématique au cœur des enjeux actuels : la Proptech au service de l’humain et de la
performance durable.
👇🏽 Retour sur les temps forts de cette édition mémorable
Cette nouvelle édition du RENT a mis en lumière les solutions les plus prometteuses de la Proptech : intelligence artificielle, automatisation, data,
rénovation énergétique ou encore nouveaux modèles de collaboration.
Les visiteurs ont pu découvrir comment la technologie transforme chaque maillon de la chaîne immobilière, du diagnostic à la transaction. Deux
journées intenses, rythmées par des conférences, des rencontres inspirantes et de nouvelles technologies.
Pour We Invest, cette édition fut l’occasion de réaffirmer une conviction forte : l’innovation n’a de sens que si elle sert l’humain et la
performance collective.
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Sous le thème audacieux « Intelligence artificielle, meilleure amie ou pire ennemie ? », cette 13ᵉ édition a ouvert un véritable débat de fond sur
les usages, les opportunités et les limites d’une technologie qui bouleverse la filière.
Protection des données, souveraineté numérique, fiabilité de l’information… autant de sujets qui ont animé les conférences et encouragé les
professionnels à tirer le meilleur parti de l’IA tout en gardant la main sur leurs outils.
Mais le RENT 2025 ne s’est pas limité à la tech. Le nouveau village Hatcher Connect a mis en avant les grandes dynamiques humaines du secteur
immobilier : emploi, formation et montée en compétences. Les promoteurs ont également signé leur grand retour, avec des innovations concrètes
en matière de construction durable et de développement responsable.
Enfin, la veille du salon, le 4 novembre, s’est tenu le gala solidaire d’inauguration du RENT 2025, organisé au sommet de la Samaritaine. Soutenu par
Septeo, Microsoft et Yousign, cet événement a rassemblé plus de 200 acteurs de la filière au profit de l’association “Toit à Moi”, illustrant la volonté
du salon d’allier innovation et engagement sociétal.
Les collaborateurs de We Invest faisaient partie cette année des invités à ce moment d’ouverture exceptionnel, qui a lancé le salon sous le signe de
la solidarité, du partage et de la performance collective.
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On prend les mêmes… et on fait encore mieux ! Cette année encore, We Invest n’est pas passé inaperçu. Présent au cœur de l’événement, notre
communauté a su attirer l’attention des visiteurs et des médias grâce à son stand iconique, son équipe engagée et ses prises de parole inspirantes.
Ambiance conviviale, échanges : tout était réuni pour faire découvrir un modèle immobilier agile, plus humain et résolument tourné vers
l’avenir.
Les équipes de la France et de la Belgique était solidaires et mobilisée au complet pour accueillir les visiteurs, présenter les innovations du réseau
et partager leurs perspectives 2026.
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Cette année, We Invest a eu le plaisir d’organiser sa propre table ronde en partenariat avec Radio Immo, un moment d’échange fort placé sous le
signe de la diversité et de la performance collective.
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Autour du thème « La diversité au cœur de la performance », plusieurs membres de la communauté We Invest sont venus partager leur parcours
et leur vision d’un immobilier plus humain.
Parmi eux : Karim Ladjadj, Directeur de l’agence de Colombes, Kevin Albertini, conseiller sur le secteur d’Argenteuil, Kenza Cardot, Directrice de
l'agence de Boulogne-Billancourt, Éric Leblanc, fondateur de La Franchise Immobilière, Sandrine Dautremer, conseillère indépendante, et
Jonathan Castel, Directeur de l’agence Castel Immobilier à Agnin.
Cette table ronde fut aussi l’occasion de dresser un premier bilan, un an après leur arrivée au sein de We Invest, et de revenir sur l’évolution de
leur activité, leur intégration et les opportunités offertes par le modèle hybride, agile et collaboratif de la communauté.
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Un grand merci à nos intervenants pour leurs témoignages inspirants et leur engagement, qui incarnent pleinement l’esprit We Invest : faire de la
diversité une force, et du collectif un véritable moteur de réussite.
Si vous êtes passés à côté, 👉 retrouvez ici l’intégralité de l’émission
Pour la première fois, We Invest a eu l’honneur de participer à la RENT Channel, la scène phare du salon dédiée aux parcours qui font bouger les
lignes et aux histoires qui marquent durablement.
Aux côtés de notre partenaire Axel Allétru, pilote automobile et ambassadeur We Invest, Xavier Belvaux, Directeur Général de We Invest, a pris
part à la conférence « Rebondir, entreprendre, inspirer : le courage en immobilier et bien au-delà ».
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Animée par Bérénice Deville Fleuriot, Rédactrice en chef chez Radio Immo, cette table ronde rassemblait également Isabelle Larochette,
Présidente de La Cour au Jardin & de la Fondation I Loge You, Samantha Domingues, Présidente de S.A.M (Savoirs. Accompagnement.
Méthode), et Thomas Reynaud, Fondateur de Garantme.
Le témoignage percutant d’Axel Allétru, autour de la résilience, du dépassement de soi et du leadership, a profondément touché le public. À
travers son parcours, il a incarné les valeurs chères à We Invest : le courage, la persévérance et la force du collectif.
Une intervention remarquée, saluée par les visiteurs et les médias, qui a permis à We Invest de se distinguer par sa vision humaine, audacieuse et
engagée de l’entrepreneuriat immobilier.
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Cette édition 2025 du Salon RENT s’est aussi distinguée par la remise des Sweet Awards, qui récompensent chaque année les initiatives les plus
prometteuses et à impact positif dans la Proptech.
Et cette fois, We Invest a décroché le Very Sweet Award 2025, une distinction décernée par MySweet’Immo et le Salon RENT, qui salue les
projets conjuguant innovation, engagement social et impact durable.
Ce prix met en lumière notre démarche : réinventer l’immobilier autour de valeurs fortes la proximité, l’inclusion et la collaboration, tout en
proposant des solutions concrètes pour améliorer la vie des professionnels, des clients et des territoires.
Une belle reconnaissance pour l’ensemble de la communauté We Invest, engagée au quotidien pour faire évoluer le secteur vers un modèle plus
responsable, plus humain et plus collectif.
👉 Retrouvez tous les détails du concours juste ici
Impossible d’imaginer un Salon RENT sans les équipes et membres de la communauté We Invest, qui ont fait de ces deux jours un véritable succès collectif.
De l’installation du stand à la dernière coupe de champagne, chacun a contribué à faire rayonner notre énergie, notre professionnalisme et notre esprit d’équipe.
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Un immense merci à tous les membres présents de
We Invest France et Belgique, à tous les membres de
notre communauté, nos partenaires, pour votre
présence, votre engagement, votre bonne humeur et
votre professionnalisme exemplaire.
Votre énergie, vos retours et votre enthousiasme font de
cet événement une expérience collective unique et
nous permettent de continuer à grandir !
🎥 Retour en images sur ce salon RENT 2025 et revivez les meilleurs moments de cette édition exceptionnelle !
A très vite pour de nouvelles aventures ! Vous souhaitez de nous rencontrer ? 👇🏽

Ancien ou neuf : découvrez quel type d’investissement immobilier correspond à votre profil en 2025.

Le marché immobilier français est aujourd’hui confronté à un choix qui taraude bon nombre d’investisseurs particuliers : faut-il privilégier un bien ancien ou un bien neuf ?
Le débat n’est pas nouveau, mais la conjoncture 2025, avec ses normes énergétiques renforcées, ses prix élevés, ses dispositifs fiscaux en mutation, vient conférer à cette question une dimension encore plus stratégique.
L’objectif de cet article est de décrypter : quels sont les atouts de chacun ? Quels profils d’acheteurs ou d’investisseurs leur conviennent ? Et comment, à la lumière des dynamiques du marché, arbitrer entre les deux ?
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L’immobilier neuf présente aujourd’hui plusieurs avantages : conformité aux dernières normes (en particulier la RE2020 depuis le 1er janvier 2024), frais de notaire réduits (de l’ordre de 2-3 % contre 7-8 % pour l’ancien) et garanties constructeurs (décennale, parfait achèvement) renforcées.
Mais ces atouts se paient : les prix d’achat sont en moyenne plus élevés, les surfaces souvent plus modestes ou situées en périphérie, et les délais de livraison peuvent être sujets à aléa. Par exemple, l’écart de prix moyen en France cet été était de 3 419 €/m² pour l’ancien contre 4 595 €/m² pour le neuf.
L’ancien, quant à lui, offre souvent des emplacements plus centralisés, un cadre architectural et patrimonial souvent apprécié, et un prix d’entrée plus abordable.
En revanche, il comporte plus de risques de travaux, de mise aux normes énergétiques, et des frais de rénovation qui peuvent être lourds.
Les études les plus récentes soulignent qu’il n’existe pas de réponse universelle : tout dépend du profil de l’acheteur, de l’emplacement, de la destination (résidence, investissement locatif) et du budget.
Ainsi, le neuf sera prioritaire pour qui mise sur la simplicité, la performance, la faiblesse des travaux ; l’ancien pour qui souhaite un coup de cœur, un emplacement stratégique ou un potentiel de plus-value après travaux.
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Si votre objectif est l’accession à la propriété, avec un minimum de travaux, un confort immédiat et une vision à moyen terme (10-15 ans), le neuf apparaît souvent comme une bonne option : simplicité, modernité, charges maîtrisées.
En revanche, si votre budget est contraint, ou si vous souhaitez vous installer dans un quartier central ou historique, l’ancien peut offrir un très bon compromis, à condition d’anticiper les travaux.
Pour un investissement locatif, la logique diffère : rendement, fiscalité, revente, vacance locative sont autant de critères.
C’est ici que l’ancien prend tout son sens : entre la vente en bloc, la vente par lot, la transformation d’immeubles de bureaux en logements…, l’ancien ouvre des leviers de valorisation que le neuf ne permet pas toujours. Si vous avez le temps, la patience et la capacité d’intervention, l’ancien peut être
très opportun.

Notre dernier podcast qui rassemble Stéphane Imovicz, Président de la société Ikory, et Chrystèle Marchand, Responsable Marketing chez Cogedim le montre : loin d’être opposés, l’ancien et le neuf peuvent être complémentaires.
D’un côté, Ikory se positionne sur la valorisation d’actifs résidentiels anciens (vente en bloc, vente par lot, assistance à maîtrise d’ouvrage pour transformation).
De l’autre, Cogedim diffuse des logements neufs à l’échelle nationale, dans des sites souvent périphériques ou en renouvellement urbain.
Ainsi, pour un investisseur ou un particulier, la question n’est pas forcément « ancien ou neuf », mais plutôt « quel produit, dans quel lieu, selon quel objectif, dans quel budget ».
En fin de compte : l’ancien et le neuf ne sont pas ennemis, mais deux chemins d’investissement distincts. Votre choix dépend de vos contraintes et de votre ambition.
Faut-il investir dans l’ancien ou dans le neuf aujourd’hui ? La réponse est : ça dépend.
Le neuf séduit par sa simplicité, sa performance, son confort. Il convient particulièrement à ceux qui souhaitent bâtir un projet sans surprise, dans une logique « clé en main ».
L’ancien séduit par son potentiel, son emplacement, sa possibilité de créer de la valeur. Il exige davantage d’engagement, mais peut offrir un rendement ou une plus-value supérieure.
En vous appuyant sur votre profil : objectifs (résidence / investissement), budget, capacité à gérer travaux ou gestion, horizon de détention, fiscalité, vous pourrez établir la meilleure stratégie.
Et surtout : n’oubliez jamais que l’emplacement reste le facteur numéro un, quelle que soit la typologie.
Vous avez des questions précises ? Vous souhaitez un accompagnement dans l’arbitrage ancien/neuf ou besoin de conseil pour un projet immobilier ? Contactez-nous et franchissons ensemble cette étape stratégique.

